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News Superman : des interviews avant Londres !

Dernière mise à jour : il y a 2 jours

Alors que la tournée mondiale va faire sa prochaine escale à Londres, les interviews des acteurs et de James Gunn continuent pour délivrer quelques ajustements et précisions. La communication se poursuit pour donner quelques indices sur le film aussi et entretenir l'engouement avec humour.


C'est parti !


Interviews chez Ben Mankiewicz

La chaine CBS et son émission Sunday Morning diffusait ce dimanche un reportage sur Superman, avec un premier message sur les réseaux sociaux et en parallèle sur la chaine YouTube ::


D'une durée de presque 8 minutes, ce reportage intitulé "Look, up in the sky! Un nouveau "Superman" arrive" aborde le travail de DC Studios pour ramener sur le grand écran le personnage de Superman créé par Jerry Siegel et Joe Shuster après quasiment 90 ans d'histoire dans les bandes dessinées, à la radio, à la télévision et au cinéma.


Ben Mankiewicz, animateur de Turner Classic Movies, interrogeait le critique Elvis Mitchell qui explique en quoi Superman est unique à l'ère des films de super-héros, au-delà du Spider-Man torturé (qui doit "subvenir au besoin de sa tante" et lui et qui "se sent responsable de la mort de son oncle" Ben) ou de Batman "responsable de la mort de tous ceux qui sont dans son champ de vision et qui souffrent tous". Pour lui, Superman "se tient debout" et "crée son propre narratif en tant qu'alter-ego". Le personnage créé son récit de manière bienveillante, quels que soient ses pouvoirs. Il n'est pas le résultat d'un trauma, mais est un héros aux fondations équilibrées qui vient en aide à tous.


Mankiewicz s'est rendu à Burbank en Californie pour s'entretenir avec le réalisateur James Gunn alors que ce dernier est encore en train de travailler sur les effets spéciaux du film comme la fameuse scène de vol, innovante, mais discutée par les fans. Il rappelle que le réalisateur est aussi scénariste du film et co-CEO du studio DC lorsqu'ils discutent au sujet de ce qu'ils appellent la "ré-imagination" de L'homme d'acier. Ensuite, il s'est rendu auprès de David Corenswet à Philadelphie pour discuter des défis que l'acteur principal a dû relever pour reprendre le flambeau après l'interprétation prééminente de Christopher Reeve qui constitue encore à ce jour la référence fondamentale de Superman au cinéma.




James Gunn et Superman

Le réalisateur est très excité par le film et sent qu'ils ont fait quelque chose de différent. Il présente un Superman qui n'est pas "indestructible", mais plus accessible, "terre à terre". On le voit saigner dans la bande-annonce et le réalisateur veut éviter qu'on le voit comme trop fort avec des pouvoirs dignes du Golden Age et du Silver Age, même si on a déjà pu voir cela dans le film Superman de Richard Donner :

Mon Superman n'est pas indestructible, on le voit saigner immédiatement. J'ai parfois pensé qu'il était trop fort. Vous ne voulez pas qu'il soit capable de briser une planète en deux ou de faire le tour d'une planète un milliard de fois et de faire reculer le temps, vous savez, je voulais un Superman un peu plus terre à terre.

Cependant, comme en témoignent les bandes-annonces et apéritifs publiés, le réalisateur effectue un exercice d'équilibriste. Il veut rendre Superman accessible tout en revenant aussi aux fondamentaux dans les images qu'il nous propose afin d'offrir une version inédite du personnage à l'écran.


Krypto le Super-Chien est un élément qui permet d'entériner cette ambivalence entre référence comics et cet aspect palpable, puisque le chien est bien la porte d'entrée, le déclic, qui a permis au scénariste d'entrevoir l'histoire qu'il allait écrire. Comme dans d'autres interviews, Gunn raconte l'histoire d'Ozu le terrible : le chien qu'il a adopté était si indomptable qu'il s'était alors demandé ce que la situation serait si l'animal était doté de super-pouvoirs ! Et eurêka, l'aventure et le projet ont pu démarrer !


La vidéo du reportage :

N'hésitez pas à activer les sous-titres avec traduction en français !



David Corenswet avec Mankiewicz

La vidéo précédente diffuse quelques extraits de l'échange de Ben Mankiewicz avec David Corenswet, mais on dispose sur la chaine YouTube de CBS Sunday Morning de l'interview longue.

À l'instar de celle accordée à People, en sait-on plus sur l'acteur et sur son travail pour le rôle ?


Originaire de Philadelphie

David Corenswet reçoit Ben Mankiewicz au Théâtre Arden, le théâtre régional de Philadelphie, où le jeune Corenswet âgé de 9 ans allait auditionner, puis jouer dans la pièce d'Arthur Miller, All My Sons (Ils étaient tous mes fils, 1946). En ce lieu important pour lui, l'acteur nous raconte sa jeunesse avec ses parents.


Le jeune garçon en 4e grade était fan des Marx Brothers, de Fred Aster et Ginger Rogers, de Bill Irwin, de Legos et de Star Wars. Ses parents ont particulièrement contribué à son éducation par un souci d'écarter la télévision et ses publicités au profit du cinéma et des grands films parmi lesquels Indiana Jones (vu avec sa mère vers 7 ans), ainsi que du théâtre. Son père était acteur et c'est lui, racontait-il à People qu'il lui avait proposé de participer à l'audition qui lancerait sa passion.



Vers la carrière d'acteur

C'est à côté de l'école que le jeune Corenswet, dès 9 ans, a passé son temps à jouer professionnellement dans différents spectacles musicaux et de théâtre. Lorsqu'est venu le moment de choisir sa voie, il a recherché ce qu'allait signifier être acteur concrètement et finit par envisager l'entrée dans la prestigieuse école de musique et des arts du spectacle de Juilliard.


Après une année à l'université de Pennsylvanie, il passe l'audition pour Juilliard et direction New York pour entrer dans cette institution consacrée quasi exclusivement au théâtre et qui le destinait à Broadway. Doté d'une belle voix de baryton et déjà passé par les spectacles musicaux, David Corenswet a acquis une plus grande clarté sur son avenir au fil du temps. En observant le parcours des prestigieux élèves sortis de Juilliard, il a envisagé les films comme un "idéal" plutôt que Broadway.


Après six années passées à New York, l'acteur débarque en 2018 à Los Angeles pour la série de Ryan Murphy, The Politician, pour un rôle ponctuel, avant six mois plus tard de commencer à jouer dans Hollywood dans un rôle d'acteur régulier. Il décidera alors de s'installer dans la ville pour les cinq années qui suivront, après avoir pu choisir de vivre et de passer du temps à Philadelphie avec son père mourant du cancer. Ce fut une période durant laquelle l'acteur a profité pour échanger de façon unique et privilégiée avec son père.



Vers Superman

Après ces deux séries sur les plateformes, l'acteur joue dans le film Twisters et surtout dans Superman, le projetant dans "une autre stratosphère" que l'animateur suppose être source d'une toute autre pression.


Pour Corenswet, Juilliard l'a armé face à cette situation en préparant chaque acteur à "devenir bon dans l'échec", c'est-à-dire supporter cette situation qui peut arriver jusqu'à ne plus avoir l'impression d'échouer. Il considère que la richesse d'un acteur réside dans sa capacité à rechercher cette "peur d'échouer", un sentiment que l'acteur et le partenaire doivent ressentir afin qu'il y ait un "coût" du drame, du personnage, du partenaire... à savoir les enjeux bien présents à l'esprit et donner alors le meilleur de lui-même. Sensible à son interaction avec toute son équipe, du réalisateur au technicien, en passant par ses partenaires, David Corenswet met ainsi en avant une mentalité différente montrant tout le travail effectué qui le met comme à nu sur le plateau et la recherche constante d'amélioration de ses prestations afin d'avoir la fierté commune du travail de qualité accompli grâce à chacun.


Pour le rôle, il avait enregistré une bande avec son épouse qui lisait avec lui une version courte et adaptée de la scène de l'interview de Lois et Clark, puis parlé des idées qu'il avait sur Superman, en ajoutant exceptionnellement une lettre à destination de James Gunn sur sa vision du personnage. Son approche pragmatique ne lui laissait pas entrevoir beaucoup d'espoir d'être choisi, car il y avait selon lui très peu de chance que cela aboutisse favorablement. Il a comme lancé sa bouteille à la mer malgré tout et a finalement été rappelé pour les auditions... jusqu'à obtenir le rôle.


L'audition elle-même a été une expérience particulière qu'il nous rapporte. Rachel Brosnahan n'avait dormi que quelques heures. Elle venait en effet directement de New York après une représentation théâtrale à Broadway (comme elle l'indiquait dernièrement à DuJour). Les deux acteurs ont été associés pour les screen tests après une unique lecture de la scène et, surpris, Corenswet pensait alors que ce n'était peut-être pas concluant. Mais en réalité, James Gunn avait été presque convaincu dès réception de chaque enregistrement. Ensuite, le ton, l'humour et surtout l'énergie des acteurs pendant leur lecture l'ont convaincu. Comme une évidence, le réalisateur ne pouvait que les retenir.



Quel Superman voit-on ?

Lorsque que Ben Mankiewicz évoque la scène de l'interview de Superman par Lois Lane qui présente un Superman comme jamais vu, David Corenswet présente les identités ou personas de Superman comme autant de rôles à jouer. D'un côté, on a un Superman "présentable, puissant, calme et stoïque, rassurant et amicale", de l'autre Clark plus intellectuel et considéré comme maladroit au point qu'on ne lui accorde pas d'attention. Mais en réalité, l'acteur indique qu'il y a une troisième identité : celle de Clark parmi ses proches qui connaissent ses deux autres identités. Il s'agit de ses parents, Martha et Jonathan Kent, et aussi de Lois Lane.


Dans cette scène, il est dans l'entre-deux et alors qu'il pense pouvoir poser la tenue du super-héros en rentrant chez lui, elle le pousse dans ses retranchements et remet en question ses valeurs. La colère apparente est "la frustration" ou "la panique", qu'il ne laisse généralement pas filtré, à l'égard du point de vue qu'elle développe alors. C'est aussi la "passion" liée à la certitude qu'il a fait le bon choix. Or, il oublie qu'il est en cours d'enregistrement en tant que Superman et la situation devient ici assez explosive.


Corenswet remet en question la notion de "fardeau" pour choisir celle d'une responsabilité non pas subie, mais consciente. Il la différencie de celle d'un Spider-Man ou d'un Batman, pour simplement aider les gens parce qu'il le peut. Mankiewicz aborde alors la notion d'enjeu, le personnage de Superman étant généralement vu comme "invincible" et "sans lutte intérieure". L'approche philosophique est expliquée par l'acteur pour justement montrer les enjeux qui existent : les gens peuvent mourir et, ne pouvant pas sauver tout le monde de leur sort, Superman est néanmoins touché par les relations avec les gens. Sa relation avec Lois est naissante, à peine 3 mois, et il est à un moment de crise où elle n'est pas sûre de vouloir rester avec lui ou d'éprouver les même sentiments qu'au début. Son problème fondamental réside donc dans son isolement. Il n'est pas humain, mais est un extraterrestre aux pouvoirs que personne n'a et il n'aspire désespérément qu'à une chose : faire partie de l'humanité et ne pas être seul.



Quelle approche suivre?

David Corenswet soulève la problématique persistante qui vient au public : pour eux, les enjeux sont plus importants que le reste. Pour rendre les choses possibles, le personnage de Superman ne peut donc pas être présenté au départ comme invincible, mais plutôt comme l'indique James Gunn vulnérable. Ensuite, il doit avoir des ennemis qui peuvent tenter de l'égaler ou qui peuvent trouver ses faiblesses. James Gunn s'est donc penché sur les comics pour que les propositions soient canons avec le matériel de base. Toutefois, ajoute-t-il, même si Superman détient des pouvoirs extraordinaires comme "soulever des immeubles", cela n'en rend pas du tout la chose "facile" à accomplir. Cela demande un effort colossal et peut être source de bien des "douleurs". Tout est réalisé dans une "lutte permanente" que le réalisateur et l'acteur ont tenté de montrer dans le film. Chaque sauvetage et chaque choix ont un coût qui rendent la situation dramatique et excitante.


Avec le Super-Chien Krypto, turbulent mais qui accrochera les enfants, la volonté du film est de rester dans les esprits avec une production de qualité et qui fait du bien : de "bonnes personnes [qui feront] de leur mieux pour triompher" à la fin. Ici Superman, dans un monde où il n'est pas si facile de faire de son mieux, est ce personnage qui va se lever chaque jour pour jouer son rôle, accomplir sa tâche comme une mission, en continuant d'aller de l'avant pour être une bonne personne.



Sa vision de Superman ?

L'acteur est un enfant de la génération Spider-Man de Tobey Maguire, alors plus en phase avec le jeune un peu décalé qu'il était. Il pouvait s'identifier un peu à Peter Parker de façon romantique et Superman n'a pris une importance pour lui que bien plus tardivement quand ses relations amicales l'imposaient comme une figure paternelle qui veille sur ses proches. Il n'était pas "cool", mais "la voix de la raison", investi et impliqué au sein de sa communauté, et que l'on pouvait suivre ou aller voir quand il y avait un problème.


En racontant l'anecdote l'amenant à éteindre en sous-vêtements une alarme incendie dans leur appartement d'étudiant, le commentaire qu'il était alors un "Superman" lui rappelle l'énergie supermanesque et la première que l'hypothèse Superman pouvait lui être attachée. Pour Corenswet, ll Superman est une figure paternelle que l'on veut "avoir avec soi", qui peut venir sauver la situation en cas de problème.


Que représente alors Superman dans sa vie ? Notamment après Christopher Reeve ?

Généralement considéré comme un peu maudit ou trop marquant pour la carrière d'un acteur, à défaut de juste lancer une carrière, le rôle de Superman fait souvent très peur et naturellement David Corenswet s'est interrogé sur le choix d'accepter ou non d'enfiler le costume. Il répond avec sérénité à cette question : s'il la chance lui est donné de jouer le rôle de Superman quitte à ce que ce soit le dernier de sa carrière, il accepte volontiers, tout en acceptant les risques que rien d'autre ne se présentera ensuite.


Les similitudes avec Christopher Reeve sont nombreuses. Outre Juilliard, les deux hommes ont joué du piano, ont appris à piloter, ont choisi de tourner Superman alors qu'ils allaient être père (son premier enfant pour ce qui le concerne). Le documentaire Super/Man: The Christopher Reeve Story, vu avant de commencer le tournage, a trouvé une résonance particulière chez lui en apportant la vision qu'avait le Superman de 1978 sur la famille et la vie. Il ne souhaite pas essayer d'être "à la hauteur" de l'acteur décédé, mais il est inspiré par la persévérance et le courage qui ont fait de Reeve un exemple considéré comme un Superman à l'écran et dans la vie. Incarner ce personnage et le faire connaitre, c'est jouer le Superman des comics, mais aussi celui de Christopher Reeve avec toutes ces valeurs.



Voici la vidéo de l'entretien complet :

N'hésitez pas à activer les sous-titres avec traduction en français !



Les autres points

Parallèlement à ces interviews, le reportage nous présente les coulisses de la version alors en cours de travail, comme la scène de vol en continue et virevoltante. Les images sont principalement celles du Behind The Scene et des différentes bandes-annonces afin de ne pas divulguer l'intrigue.


Seules quelques images sont inédites comme la vue de Metamorpho, Sapphire Stagg (présumée) et Superman emprisonnés ; l'accueil à Stagg Industries de Superman par Guy Gardner et Mister Terrific ; L'ingénieur avec Sydney Happersen et Lex Luthor ; une vue aérienne de LuthorCorp donnant une idée plus ample de Metropolis ; avant un passage souterrain de Superman pour resurgir et s'envoler dans le ciel.





La promotion continue

Les vidéos tombent pour continuer à nous occuper l'espace médiatique. Entre humour décalé pour un Luthor de remplacement pour un jour, le sauvetage d'Isabela Merced ou encore pour des partenariats (comme au Cinepolis de Mexico).


Les acteurs nous invitent

Comme Sara Sampaio, l'actrice Maria Gabriela de Faria relate en photographie son expérience de la conférence de presse :



L'approche ludique est toujours de mise pour mettre en valeur les acteurs ici Nathan Fillion (qui incarne Guy Gardner) et surtout Beck Bennett (qui incarne Steve Lombard) : en retard pour la presse ?

En retard ? Je préfère héroïquement retardé. #Superman

Et en photos :



Spots TV

Les petits spots continuent à être diffusés pour nous garder sur le qui-vive avec un retour au Daily Planet et à l'antagonisme entre Superman et Lex Luthor :




Un extrait du film a été diffusé et relayé sur les réseaux un peu plus tardivement :

"Superman... Ce n'est pas un homme, c'est une chose. Une chose avec un sourire arrogant et un costume stupide". - Nicholas Hoult dans le rôle de Lex Luthor dans un nouveau clip de #Superman

On retrouve dans cet extrait l'invasion de la Forteresse de Solitude par Lex Luthor et son groupe, à savoir L'Ingénieur, Ultraman et Eve Teschmacher. Le vilain présente l'abomination Superman dans un passage cette fois complet.



La communication autour du film

James Gunn nous rappellent au bon soin de Krypto le terrible animé par Framestore avec deux extraits vidéos montrant le réalisme de l'animation pour le Super-Chien :

Bon chien, mauvais chien. @framestore

Autre point communication après le NHL, la NBA, la MLB et le football, passons au catch ! Le casting du film Superman sera en équipe pour une apparition spéciale lors de la 300e de l'événement Dynamite de la AEW (All Elite Wrestling) du mercredi 2 juillet :


Superman sera donc sur le ring pour un crossover qui ravira les fans. Pour assurer la promotion du show ce show, David Corenswet, Rachel Brosnahan et Nicholas Hoult apparaissaient aux côtés de Kenny Omega, MJF et Toni Storm dans les images publiées par l'AEW pour annoncer la nouvelle.


Sera ce le programme de la soirée : Superman vs Kenny Omega, Lex Luthor vs MJF et Lois Lane vs Toni Storm ? Cela promet !!



La communication dans le monde

Pour Mexico, l'artiste Miguel "Mike" Sandoval a réalisé une nouvelle affiche Superman :


Mais c'est surtout au Royaume-Uni que les choses sérieuses se préparent avec le programme des festivités pour cette troisième étape de la tournée mondiale.

Le casting se préparait à Londres avec humour et décalage... en mode "challenge mannequin" :


Chaque acteur apparait en mode figé et on nous propose quelques indices (Bizarro derrière Lois Lane) et plaisanteries (photographies de la série The Office, objet de commentaires sur les réseaux). Entre contre-feu et humour, le casting s'amuse follement.


Avant que le trio ne nous propose un peu d'humour pour aller à "London" !

Entrez sur le plateau de tournage de #Superman avec notre méchant...Repost si vous êtes impatient de voir Nicholas Hoult dans le rôle de Lex Luthor.


Warner Bros UK invite les habitants à lever les yeux dans le ciel de Londres en direction de la tour "The Shard" (anciennement la Tour du pont de Londres ou London Bridge Tower), la tour en verre exceptionnelle au cœur de Londres :



Avant que le Daily Planet ne prenne place dans la ville :


Le Daily Planet sera en kiosque dans la ville de Londres, du 1 au 10 juillet veille de la sortie en salle, de 8 à 18h :

  • The Shard Piazza (1/07)

  • King's Cross Station (5 et 6/07)

  • Waterloo Station (8/07)

  • et Liverpool Street Station (10/07)



À très bientôt sur Planet Superman pour des nouvelles informations sur le film !


JA

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